Certaines plantes s’épanouissent mieux dans leur habitat naturel que sous la protection des humains. L’euphraise et l’arnica, par exemple, ont besoin de la montagne ardue pour déployer toute leur force de guérison. D’autres, comme le gui ou les pousses d’épicéa préfèrent la vie dans les cimes des arbres. La récolte de ces esprits libres est l’affaire de notre cueilleur sauvage.